[Podcast] Les ruptures de Normalité

Le Cercle, le podcast pour les freelances tech qui veulent gagner leur indépendance.

[00:00:00.000] – Pierre

Bonjour Benoît.

[00:00:00.950] – Benoit

Bonjour Pierre.

[00:00:01.840] – Pierre

Bienvenue à toi, chères auditrices, chers auditeurs dans Le Cercle.

[00:00:05.780] – Benoit

Le podcast pour les Freelances Tech qui veulent gagner leur liberté.

[00:00:09.040] – Pierre

Aujourd’hui, nous allons aborder le sujet des ruptures de normalité. Attends, rupture de Normalité, pour un freelance, c’est quoi ?

[00:00:17.270] – Benoit

La genèse de cette terminologie rupture de normalité, je l’ai empruntée au milieu survivaliste, où on qualifie la rupture de normalité comme un événement majeur qui change profondément le quotidien, en fait. Alors, la rupture de normalité ultime pour un survivaliste étant l’effondrement de la société dans laquelle on vit. Mais en fait, on peut très bien vivre des ruptures de normalité beaucoup plus quotidiennes, on va dire, et classiques. Ça peut être un accident, un accident de voiture, ça peut être un problème de santé, quelque chose qui va modifier le rythme de vie bien établi, que tu as construit.

[00:00:58.430] – Pierre

Comme une pandémie mondiale ?

[00:01:00.340] – Benoit

Comme une pandémie mondiale, c’est typiquement l’exemple même de la rupture de normalité que tu subis complètement où tu n’y peux rien, ça te tombe dessus. “Bonjour, le président décide du confinement.” Confinement, point. Et pour pas mal de monde, ça change drastiquement beaucoup de choses dans leur quotidien.

[00:01:20.030] – Pierre

À toi qui nous écoute, on avait envie de parler de ça aujourd’hui parce qu’en fait, en tant que freelance, c’est un sujet qui est important. On est amené à avoir dans notre vie des ruptures de normalités. On espère pour toi et c’est tout ce qu’on souhaite, que tout aille bien les 20, 30, 40 prochaines années. Sauf que ça peut arriver. Et en fait, à Benoît et à moi, ça nous est arrivé et ça nous arrivera encore. Et on avait vraiment envie de parler de ça parce que c’est important de savoir que ça existe et potentiellement, peut-être, réfléchir à comment s’y préparer. Benoît, il s’est passé quoi dans ta vie pour avoir des ruptures de normalité ? Tu peux peut-être nous l’illustrer.

[00:02:01.090] – Benoit

Yes. Se préparer à ça, moi, me paraît juste essentiel quand on est freelance, quand on est indépendant et qu’on a envie de continuer sur ce statut. Parce qu’en fait, il faut être conscient que c’est à nous de prendre en charge ça, c’est-à-dire qu’en tant que salarié, Il y a beaucoup de choses qui sont déjà prévues par la loi, qui sont cadrées. Il y a beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Alors que quand on est indépendant, il y en a beaucoup moins. C’est vraiment à nous de construire tout ça, notamment pour des problèmes de santé. Moi, j’ai eu dans ma vie, j’ai eu une chute de trois mètres de haut sur le dos. J’aurais pu perdre mes jambes à ce moment-là. Comment est-ce que ma vie aurait été différente ? Parce qu’on a parlé du COVID qui, quelque part, nous a tous touchés, mais ça n’est pas venu Je n’ai pas forcément toucher notre intégrité, à moins d’avoir été malade soi-même du COVID. Par exemple, j’ai eu une blessure qui a été finalement plus invalidante. J’ai eu envie de faire des tractions comme un idiot. Où pendant plus d’un mois, j’ai été vraiment mal à un point incroyable que je ne pouvais même plus me tenir debout ni rester assis.

[00:03:02.800] – Benoit

Voilà, ça, c’est un validant. Comment je fais pour continuer à payer les factures, subvenir aux besoins de ma famille quand je suis freelance et que ce genre de choses m’arrivent ? Mais je suis sûr que toi aussi, tu as des choses qui te sont arrivées, Pierre.

[00:03:18.860] – Pierre

On peut parler de la période COVID, qui a été une période un peu bizarre. Moi, pour remettre le contexte, quand on annonce le confinement complet en France, dix jours plus tard, j’ai mes quatre clients industriels avec lesquels je bosse qui annoncent mettre au chômage technique 100% de leurs équipes. Donc, moi, je me retrouve du jour au lendemain sans interlocuteur et sans client. Donc ça, c’est un sujet. Puis, Autre chose un peu plus présent, un changement de vie de famille, entre autres l’arrivée prochaine de jumeaux qui vont faire que ma vie va changer définitivement avec des priorités qui ne sont pas les mêmes, avec un temps qui n’est pas le même et avec un un besoin en termes de finances personnelles qui est plus élevé qu’avant. Donc, rupture de normalité.

[00:04:06.520] – Benoit

Plutôt positive dans ton cas.

[00:04:09.080] – Pierre

Oui, positive, ce sera pour le meilleur, mais il n’y a pas de mais, il y a juste un et. Et à quelle sauce je vais être mangé financièrement et comment je vais gérer mon quotidien ? Et est-ce que je serai capable de continuer à réfléchir alors que mes nuits seront hachées ? Je ne suis pas le premier à passer par là, je ne serai pas le dernier. J’ai très envie d’être un papa présent. Moi, le papa qui bosse 90 heures par semaine et qui laisse tout à sa conjointe, ce n’est pas pour moi. Je n’ai pas de jugement, c’est parce que j’ai envie dans mon modèle et dans mon rôle. Donc, il y a la question de comment assumer ma part, comment passer du temps et en même temps, comment continuer à être un freelance qui tient la route.

[00:04:49.430] – Benoit

Ouais, ces questions-là deviennent de plus en plus importantes, que tu as une pression financière qui va augmenter. Donc, comment on s’y prépare ?

[00:04:59.200] – Pierre

C’est ça. Et puis, il y a un moment, mes clients payent pour une prestation, payent pour un résultat, payent pour de la qualité. Il y a aussi le: Je veux qu’ils continuent à être contents, donc il faudra trouver le bon équilibre. Je trouve que la question est passionnante. En même temps, il y a des sujets qu’on je peux préparer. Il y en a qui disent: On va vivre au fur et à mesure. Par exemple, il y a quelque chose que je ne peux pas préparer, c’est mon état de fatigue. Je ne sais pas comment je vais réagir. Et par exemple, je sais que je reprendrai après mon congé paternité, mais à ce jour, je ne sais pas si je reprendrai trois jours par semaine, à mi-temps, à 80%. Je ne sais pas, on verra.

[00:05:34.620] – Benoit

Comment on peut s’y préparer à ces ruptures de normalité, à ces chocs, même s’ils sont désirés, à ces changements parfois radicaux de vie ?

[00:05:43.290] – Pierre

Moi, je dirais qu’il y a un premier point et peut-être un qui va décider de beaucoup d’autres choses, c’est l’argent. Si tu as de la trésorerie devant toi et que tu as 12, 18, 24 mois, quand il y a une rupture de normalité, tu vas amortir. Quand le COVID est arrivé, je me suis dit: OK, je ne pourrais plus faire mon business les 36 prochains mois de la même manière que je le faisais jusqu’à maintenant. Tu vois, 36 mois, c’est long et c’était une manière de dire: En fait, il va falloir que je réapprenne à travailler différemment, à servir peut-être des clients différents. Je me suis dit: OK, bon. Et après, il se passe quoi si pendant 36 mois, je ne fais pas de business et je ne rentre pas de chiffre d’affaires ? Je n’avais de quoi voir devant moi, donc tout d’un coup, ça rassure. En fait, quand tu as ton trésor de guerre, tu as un gros amortisseur.

[00:06:32.600] – Benoit

C’est juste vital parce que là, tu as parlé d’une situation où de toute façon, tu aurais pu le dire, où tu pouvais faire autrement. C’est-à-dire que dans l’absolu, si tu avais besoin de manger, peut-être que tu aurais pu aller chercher un taf, quoique pas grand monde recruté à ce moment-là. Mais moi, je pense au cas que j’ai pu vivre, où j’étais dans l’incapacité de faire quelque chose. Là, l’argent est d’autant plus important. C’est-à-dire que quand tu as de l’argent devant toi, tu peux au moins souffler, prendre le temps de te réparer, de te soigner, de voir les choses arriver. Ça change pour moi, drastiquement, la situation et le vécu de la situation.

[00:07:14.230] – Pierre

Donc, pour toi, qui nous Je vous écoute. Si tu n’as jamais fait l’exercice, je t’invite à calculer combien tu te coutes, combien tu coûtes à ton entreprise tous les mois. Il y a ton salaire, tes charges, il y a le coût du comptable, de la banque. En gros, tu prends à l’année, si tu as déjà un bilan, puis tu divises par 12. Et ensuite, la question, c’est: si là, maintenant, tout de suite, tu arrêtes de rentrer du cash, combien de temps tu as devant toi ? En fait, le chiffre en euros, il n’est pas important. Ce qui est important, ce qui L’important, c’est le nombre de mois. Est-ce que tu as deux mois devant toi ou est-ce que tu en as 24 ? Et c’est le premier sujet, c’est: est-ce que ta trésorerie peut amortir ? Et si oui, pendant combien de temps ? D’autres sujets qui permettent de s’y préparer en tant que freelance ?

[00:07:59.880] – Benoit

Moi, il y a quelque chose qui me paraît super important, c’est que ta vie ne tourne pas uniquement autour du travail. Parce que si jamais un jour, ce pilier-là, un peu notre vie qui quand même nous occupe pas mal dans la semaine, on va dire entre 6, 8 heures, 10 heures par jour. Si ce pilier-là se fendre parce que d’un coup, du jour au lendemain, tu es viré de ta mission, parce qu’il y a quelque chose qui fait que tu ne peux plus exercer ton travail, que tu es obligé, comme tu l’as dit, de te remettre profondément encore sur ton boulot, si ta vie reposait entièrement sur ça, que tu n’as pas à côté une vie de famille, des passions, des choses qui viennent un petit peu équilibrer les choses, ça peut être quand même très violent d’avoir ça qui s’effondre.

[00:08:42.700] – Pierre

Moi, j’ai l’habitude de dire que j’essaye d’avoir une vie qui est sur deux jambes, une jambe pro et une jambe perso. Et en fait, j’essaie de ne pas remettre en cause les deux en même temps ou de ne pas les faire évoluer en même temps. Et donc, quelque part, d’avoir une sorte de routine au boulot et une sorte de routine à la maison. Et quand j’ai le choix d’aller venir titiller ma routine de boulot pour remettre en cause des choses, mais pas en même temps que ma routine perso et inversement. Alors bien sûr que, il y a des fois, je n’ai pas le choix, rupture de normalité. Et donc, ça vient travailler ça. Mais moi, j’aime bien l’image de cette sécurité familiale, sécurité affective, ce côté Je suis bien dans mes pompes, je suis bien dans ma vie ou en tout cas, j’essaye de prendre soin de moi au global pour que le jour où on a cette rupture de normalité, je suis en capacité de… Ok, j’ai des acquis, j’ai des gens autour de moi, j’ai des gens qui me font confiance dans le boulot, j’ai du business qui arrive. Maintenant, OK, j’ai un mois la jambe dans le plâtre.

[00:09:46.970] – Pierre

Maintenant, je fais comment avec tout ça ?

[00:09:49.020] – Benoit

Ouais, à ce moment-là, il ne faut pas hésiter à tout reposer sur la table. Moi, c’est un truc aussi que j’ai pu voir dans d’autres épreuves que j’ai pu traverser. Ne pas hésiter à remettre sur la table le truc, notamment dans la gestion du temps, de se dire: OK, avant ma vie, elle ressemblait à ça. Du coup, j’avais telle organisation, je faisais telle chose à tel moment, j’avais telles activités ou je pouvais faire ça, ça et ça. Aujourd’hui, les données d’entrée ont quand même radicalement changé. Ok, qu’est-ce que je garde ? Qu’est-ce que je ne garde pas ? Qu’est-ce que je fais de nouveau ? Qu’est-ce que j’enlève de ce que je faisais avant ? Je pense que quand il y a des changements comme ça, brutaux, qui peuvent arriver, rester dans un espèce d’ancien schéma ne marche pas forcément bien et il vient plutôt nous emprisonner, alors que venir reconsidérer les choses et se dire: OK, finalement, là, je suis en train de traverser ça. Pendant trois mois, par exemple, je ne vais plus faire telle activité. Moi, en ce moment, par exemple, je suis en train de déménager. Ça me prend beaucoup d’énergie, beaucoup de temps.

[00:10:55.720] – Benoit

J’ai accepté qu’une partie de mon activité sportive, je la mettais de côté pendant deux, trois mois et que c’est OK.

[00:11:03.310] – Pierre

Dernière chose que tu peux mettre en place, toi qui nous écoutes pour te préparer en tant que freelance à la rupture de normalité, c’est tout ce qui est assurance. Une bonne mutuelle, une prévoyance, se poser les questions de savoir ce que tu as comme contrat et comment tu es couvert. Il y a un truc tout bête, un contrat de base qu’on m’a proposé pour ma mutuelle me couvre mon salaire de base, avant négo, à 30 jours d’hospitalisation, 30 jours de maladie. Je leur ai dit: « Je suis désolé, mais si je suis hospitalisé, est-ce qu’on peut avoir un truc plus court ? Parce que si je suis hospitalisé pendant 30 jours, c’est vraiment sérieux. »

L’idée, c’était plutôt de dire: Est-ce que je peux être couvert plus tôt ? La réalité, c’est que ma mutuelle m’a dit: Oui, si tu payes un peu plus cher, tu peux être couvert dès le troisième jour d’hospitalisation. C’est-à-dire qu’en gros, si je suis hospitalisé 4, 5, 10 jours, ils couvrent mon salaire pendant ce temps-là. J’ai fait ce choix-là de préférer être un peu mieux couvert, donc de qui est un peu plus cher. C’est un peu le jeu de l’assurance, de la mutuelle.

[00:12:03.350] – Pierre

Par contre, je sais que si demain, j’ai une période que je n’espère pas, j’espère toujours que ça n’arrive jamais, mais si demain, je dois être hospitalisé 15 jours ou 30 jours ou 45 jours, je sais qu’en tout cas, financièrement, je ne mets pas ma situation personnelle en danger. Il y aura d’autres choses à gérer. Il faudra expliquer au client, il faudra reporter des projets. Ok, très bien. Mais par contre, déjà, je sais que je paye mes factures, que je peux continuer à faire des courses et que je ne mets pas en danger ma famille.

[00:12:30.650] – Benoit

Moi, j’ai fait un choix différent du tien. J’ai choisi d’être à 30 jours parce que par défaut, il faut être conscient qu’en tant que TNAS, par défaut, il n’y a rien. C’est-à-dire que si jamais tu ne t’en occupes pas, par défaut, tu n’as à peu près rien. Et donc moi, j’ai pris un un bras de prévoyance, mais qui me couvre effectivement avec une carence de 30 jours. Le piège de la carence de 30 jours, parce qu’au début, je m’étais dit: Finalement, un mois, ça va. Je prends le risque à ma charge de ce mois-là pour lequel je ne me paye pas et je ne déclenche le truc que si c’est vraiment C’est quand même grave, du coup, à priori, parce que 30 jours, c’est quand même costaud. Sauf que typiquement, dans l’exemple de ma blessure au dos, je suis juste parti avec un mal de dos, en fait. Alors, c’était violent, mais à aucun moment, j’imaginais que ça allait durer 30 jours. Donc, quand le docteur me propose d’être arrêté trois jours. Je lui dis: C’est bon, ça ne sert à rien. Je vais aller chez le kiné, chez l’ostéo. Et puis ça va passer. Et puis après, c’était: Bon, ça ne passe pas.

[00:13:23.930] – Benoit

Donc je vais aller chez le kiné et puis ça va passer. Et puis, de fil en aiguille, ça a duré deux mois. Donc, en fait, si j’avais J’aurais peut-être activé le mécanisme dès le début. En tout cas, si j’avais fait les démarches pour être en arrêt dès le début, j’aurais été couvert en partie, j’aurais pu activer l’outil. Mais effectivement, en tout cas, ce qui est intéressant de voir, c’est que tu peux choisir, quand tu es à ton compte, ta carence. Encore une fois, quand tu es salarié, tout ça, tu n’as pas trop à t’en occuper parce que les contrats de prévoyance sont cadrés. Et en général d’ailleurs, c’est trois jours, voire zéro de carence, selon le selon ta convention et selon ton ancienneté.

[00:14:03.230] – Pierre

Quand on parle de rupture de normalité, on t’a donné quelques exemples de ce que nous, on a vécu. Et voilà, quatre choses que tu peux mettre en place pour t’y préparer. La trésorerie avec de la visibilité devant toi. Se rappeler que ta vie, elle ne tourne pas uniquement autour de ton travail et qu’un équilibre vie pro-vie perso, ça peut aider. Se rappeler que tu es sur deux jambes et donc il y en a une pro, une perso et que toute la partie sécurité familiale, affective, réseau perso, amicale, permet de garder, d’être bien dans des moments où il y a un truc qui ne va pas bien. Et puis les assurances, en tout cas si tu sais ce que tu souscris et que tu t’es posé les bonnes questions, ça permet aussi de s’y préparer.

[00:14:54.950] – Benoit

À quoi ça sert de rejoindre le cercle pour réfléchir sur tout ça ?

[00:14:57.990] – Pierre

L’idée du cercle, c’est de fournir une communauté avec des semblables et d’aller pouvoir travailler sur ton projet, sur ce que tu veux faire, de te poser les bonnes questions et en tout cas de te les poser et d’avancer, en fonction de qui tu es, de ta situation personnelle, de tes ambitions, de ce que tu souhaites faire comme projet entrepreneurial, réaliser comme projet entrepreneurial. Et c’est ça qui, dans le cercle, va te permettre d’avancer. C’est-à-dire que nous, ce qu’on propose, c’est un accompagnement sous la forme d’un mix de formation et de coaching, un ensemble d’outils qui vont me permettre de réfléchir à ces sujets-là et, entre autres, de prévoir cette fameuse rupture de normalité pour la vivre du mieux possible le jour où ça arrive.

[00:15:48.140] – Benoit

Et puis, il y a aussi, au travers du forum, tout un échange de pratiques où quand il y a des ruptures de normalité, on va dire, plus bénignes et en même temps plus courantes comme un impayé, on va pouvoir partager entre nous, s’échanger les bonnes pratiques, les conseiller sur la bonne manière de faire. Et c’est à la fois rassurant de savoir qu’on a des pairs sur qui compter, qui peuvent nous soutenir et d’avoir des actions concrètes à mener. Je me souviens que la première fois que j’ai dû faire mon premier recouvrement, je me sentais complètement paumé.

[00:16:19.240] – Pierre

Avoir la méthodo et avoir un entourage pour se rendre compte qu’on n’est pas tout seuls et qu’on est normal. Si tu veux en savoir plus, on t’invite à nous rejoindre sur lecercletech.com. Viens regarder le contenu qu’on propose. On propose des formations en ligne qui te permettent d’avancer. Et puis, si tu veux nous rejoindre, il y a la page parcours qui t’explique tout ça et on aura grand plaisir à échanger avec toi. À bientôt.

[00:16:47.100] – Benoit

À bientôt.

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