Témoignage du co-fondateur Pierre Ammeloot – Le Cercle 2024

Décris le Cercle en 3 mots

Le cercle, pour moi, c’est de la bienveillance, de l’empathie et du réseau

Qui es-tu ?

Je suis Pierre Ammeloot. Je suis l’un des 2 cofondateurs du Cercle. Mon métier c’est d’accompagner les freelances techs qui sont dans le cercle à devenir des entrepreneurs, à devenir des entrepreneurs accomplis.

Pourquoi tu as rejoint Le Cercle ?

Ce qui m’a motivé à rejoindre l’organisation du cercle, c’est de faire changer les choses, de les aider à changer de posture. Comment, pas à pas, on les aide à avancer dans leur posture entrepreneuriale. Et c’est ce qui, moi, me drive et c’est ce qui me fait me lever le matin.

Que t’as apporté Le Cercle ?

Ce que le Cercle m’a aidé à accomplir, c’est assez drôle parce que dans la posture d’un animateur, dans la posture d’un entrepreneur, le Cercle me permet aussi d’avancer dans mes questionnements, d’avoir un miroir en face de moi, parce qu’avec Benoît, au sein du cercle, on fait beaucoup de partage de l’envers du décor de nos différentes activités.

Et donc, quelque part, le fait de pouvoir se mettre à nu au sein d’un cadre qui est sécurisant, permet quelque chose d’hyper intéressant. À partir du moment où tu vis quelque chose et que tu commences à le communiquer, il faut choisir tes mots, réfléchir à comment tu vas pouvoir avoir la pédagogie qui va bien, les bonnes explications, le bon niveau de détails pour que ce soit intéressant pour l’autre.

Tes défis ?

Des défis entrepreneuriaux, j’en ai régulièrement et surtout, je m’en donne régulièrement. C’est-à-dire qu’il y en a qui me sont imposés par ce que je mets en place. Quand on essaye de développer une activité, quand on travaille sur un enjeu d’un cycle commercial, marketing ou une prod, il y a un moment où on a des choses qui ne sont pas prévues. On a des choses qui sont compliquées, on a des murs. Par exemple, est-ce que dans le Cercle, on est capable de mettre en place de nouveaux outils, de les tester, de regarder comment ça réagit ? Est-ce que ça marche d’avoir des idées ? Et en fait, c’est beaucoup essayer pour beaucoup se planter et avoir un petit peu de réussite. Et ce fait d’être en capacité de tester par itération rapidement, souvent, en fait, on augmente le nombre de réussites puisque j’augmente le nombre de tests.

Et donc moi, ce que m’a permis et ce que me permet encore aujourd’hui de faire le Cercle, c’est d’être dans un cadre bienveillant, structuré, dans lequel il y a une activité qui fonctionne, dans lequel il y a aujourd’hui du chiffre d’affaires, de la marge, des clients qui sont contents et ça c’est important. Et ça, c’est important parce que c’est la base. Mais une fois que la base, elle tourne, il y a la question de: Quels sont les nouveaux défis que je me donne ?

Le Cercle, c’est pour moi un grand terrain de jeu. Et ce terrain de jeu, il a énormément de valeur. Le fait d’avoir un terrain de jeu sécurisant, intéressant, rentable, permet justement d’avoir une certaine créativité.

Quel moment retiens-tu ?

Je crois que j’ai tout aimé cette année au Cercle.

Chaque moment passé avec les membres, chaque discussion, chaque échange sur le forum, chaque échange d’email, chaque questionnement qu’on a eu avec Benoît ou avec Clara, chaque manière de structurer l’activité, c’est des moments intéressants parce que c’est des moments de la vie quotidienne d’une société. C’est des moments qui posent des questions, qui viennent questionner la personne qu’on est, la manière dont on se comporte dans notre vie entrepreneuriale.

Je vais un peu tricher sur cette question-là. Je ne vais pas choisir un moment. Je vais plutôt répondre l’ensemble se tient et l’ensemble me fait grandir, ou en tout cas, j’ai l’impression d’avoir grandi en tant qu’entrepreneur cette année, au sein du cercle et autour du cercle, puisque j’ai une posture où je suis à la fois à l’intérieur et à la fois à l’extérieur du cercle.

Recommanderais-tu Le Cercle ?

Si tu es un freelance tech et que tu te poses des questions sur comment structurer une posture entrepreneuriale différente de juste, je vends mon temps, je veux passer à autre de choses.

Viens, on a des choses à te raconter. On a des exemples à te donner, on a des témoignages à te faire et on a des méthodos à te proposer, des outils pour te permettre de passer à une étape différente.

La promesse, c’est qu’on va t’accompagner dans ta posture d’entrepreneur pour que tu ne sois plus un freelance qui vend son temps, mais un freelance qui est libre et qui est capable d’entreprendre et de se poser des questions sur la la vie que je veux mener. Et nous, la promesse qu’on va te faire, c’est qu’on va cheminer avec toi. On ne pourra pas le faire à ta place, mais on pourra marcher à côté de toi et on pourra potentiellement t’aider à te donner quelques tips, quelques conseils.

Et donc nous, cette promesse-là, c’est « Viens cheminer avec nous et on va travailler ensemble sur ta posture entrepreneuriale. »

Et après ?

Je pense qu’entrepreneur, je le suis dans le sang, je le suis par vocation et donc je vais continuer à entreprendre.

La question, c’est sous quelles modalités. Et l’un des gros intérêts du Cercle, c’est que ça va me continuer à entreprendre avec un rythme qui n’est pas un rythme de 50 ou 90 heures par semaine.

On a un rythme où on va faire les choses petit à petit, où il peut y avoir des moments où je suis moins disponible, il peut y avoir des priorités qui sont différentes.

Donc, comment je le vois dans les prochaines années, si cette capacité à continuer à m’épanouir, à me construire en tant qu’entrepreneur, à me poser des questions, à me poser des questions de comment on accompagne la posture entrepreneuriale.

Si vous souhaitez échanger avec Pierre

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